Nico’o et The Kapiolani Boyz

Nicolas Salsac alias Nico’o fait le buzz avec sa reprise au ukulélé de la marche impériale de Star Wars d’ailleurs, j’en ai entendu parler dans le Plan Luke (l’émission qui parle d’ukulélé, mais pas que !).

D’origine bayonnaise, surfeur depuis son enfance, il rêve de Polynésie… En 2000, son rêve devient réalité et c’est pour lui la rencontre de l’ukulélé en sortant de l’avion (c’est pas moi, c’est lui qui le dit).

Et d’ailleurs, c’est peut-être l’inspiration du clip de la chanson Counting Sheep

Nico’o apprend avec les locaux au rythme des bringues et du surf avec le ukulélé monoxyle plat tahitien.

Un an plus tard, il publie sur Myspace (ben oui parce qu’on est en 2001 ; je vois d’ici les TikTokers froncer les sourcils) une reprise de Stairway to Heaven avec un uke hawaïen. Et là, surprise ! Il est invité à le jouer à New-York et à Hawaï, mais tenez, voici une captation prise dans notre bonne vieille Angleterre.

Il rencontre des grands joueurs dont les Kapiolani Boys. Ensemble, ils sortent un album en 2016 avec un répertoire varié de funk, de rock et de reggae mais surtout leur répertoire est très marqué par les trad tahitiens et hawaïens comme leur reprise d’hene hene hou aka :

https://nicoothekapiolaniboyz.bandcamp.com/track/henehene-kou-aka

Il est considéré comme l’un des meilleurs joueurs européens d’ukulélé. Il est notamment le premier européen de l’histoire invité à l’Honolulu Ukulele Festival.

Et en plus c’est un gars plutôt sympa qui vous raconte qu’il a invité James Hill en vacances chez lui…

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